PDF gratuit Le Marchand de Venise (bilingue)
Quel genre de livre de divertissement à domicile que vous prendrez pour accompagner votre temps escapade à vos vacances? Est-ce que la publication de la fiction ou un livre roman ou littéraire ou la publication valide? Tout le monde a le goût divers pour établir que le plaisir ou un livre de divertissement pour vérifier quelques-uns peut supposer que celui qui peut amuser est le livre qui utilise la chose agréable aussi bien que sa fiction. Mais, certains découvrent aussi qu'ils vont certainement aimer le livre précise que le plaisir de remplir le temps libre.

Le Marchand de Venise (bilingue)
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Quand on est confronté aux problèmes, plusieurs choisissent de chercher les sources d'inspiration et aussi amusement en lisant. Êtes-vous parmi eux? Cependant, à partir de ces nombreux, ce sera différent sur la façon dont ils choisissent des guides à lire. Certains pourraient vous obtenir les œuvres littéraires ou de la fiction, certains peuvent avait beaucoup mieux pour obtenir les livres sociaux ou scientifiques, ou religions brochures de publication. Néanmoins, toutes les publications peuvent vous donner tous les meilleurs si vous êtes vraiment authentique de l'examiner.
Détails sur le produit
Poche: 286 pages
Editeur : Flammarion (1 janvier 1999)
Collection : Garnier Flammarion / Théâtre bilingue
Langue : Français
ISBN-10: 2080708457
ISBN-13: 978-2080708458
Dimensions du produit:
17,8 x 10,8 x 1,4 cm
Moyenne des commentaires client :
3.1 étoiles sur 5
6 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
252.448 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
J'ai lu la pièce, il y a bien longtemps, dans une traduction française. Je l'avais trouvée à la fois captivante par son intérêt dramatique (Antonio échappera-t-il à Shylock?) et par moments très drôle (le dialogue entre Lancelot Gobbo et le vieux Gobbo par exemple), mais ce qui m'apparaissait comme son antisémitisme virulent m'intriguait et me mettait très mal à l'aise. J'ai voulu voir ce qu'elle donnait jouée par Laurence Olivier. Mais comment suivre une pièce où les acteurs parlent l'anglais de la fin du 16° siècle? J'ai donc acheté cette édition bilingue. Je ne suis pas une spécialiste de la langue anglaise, ni des études shakespeariennes. Je dirai donc que la préface, qu'elle soit ou non parfaite, m'a au moins permis de me faire une idée du contexte historique et de ce que l'on pensait et disait généralement des Juifs dans l'Angleterre élisabéthaine. De plus savants que moi pourront bien sûr discuter la traduction, mais grâce à elle j'ai pu éviter de comprendre complètement de travers certaines lignes, ou de ne pas les comprendre du tout.Cette clé en mains, il m'a été possible de regarder "The Merchant of Venice", avec le grand Laurence Olivier dans le rôle de Shylock, Joan Plowright dans celui de Portia, Jeremy Brett (qui devait jouer Sherlock Holmes dans la série Granada 10 ans plus tard) incarnant Bassanio et Michael Jayston Gratiano. C'est une formidable version, où chacun des acteurs joue parfaitement son rôle, et où Shylock est à la fois comique, effrayant, humain, et émouvant. Parfaitement, émouvant. Et pour la première fois, j'ai eu l'impression de comprendre le personnage. Mais si je n'avais pas eu l'édition bilingue, gardé à portée des yeux le texte anglais, lu auparavant sa traduction française, je crois que je n'aurais pas saisi un dixième de la pièce. Des spécialistes ou personnes particulièrement cultivées pourront donc critiquer cette édition, à mon modeste niveau elle m'a été bien utile. Elle a été la clé qui m'a ouvert la superbe interprétation de la pièce par Olivier et son équipe: Plowright, Brett, Jayston et consorts.
" William Shakespeare explique comment l'usure peut rendre un homme esclave de son préteur."Je pense aussi que ce livre devrait être lu dans toute les écoles,collèges,lycées etc...parce qu'il met en avant les dangers de l'argent et de la folie de certains qui le manie avec avidité et cynisme comment la démontré Molière dans l'Avare avec le fameux Arpagon."je le conseil à beaucoup de monde.
À qui ne veut pas se livrer pieds et poings liés à une "traduction" (c'est-à -dire à un texte qui n'est pas le texte) mais ne se sent pas de taille à affronter l'original, une édition bilingue offre bien des séductions.Toutefois, et même sans pousser les exigences philologiques ou critiques au-delà du raisonnable, il est indispensable de mettre en garde sur cette édition.L'appareil critique est minimal, ce qui en soi n'est pas grave, mais surtout il n'apporte quasiment aucun éclairage : 35 notes en tout et pour tout, portant sur des points plus ou moins arbitrairement choisis ; la préface est la traduction de celle de The Arden Shakespeare deuxième série (1955 : combien d'eau a coulé sous les ponts depuis...). Mais le pire, c'est encore l'approche textuelle : là aussi, en plus de cinquante ans, les standards ont évolué. La façon dont la notice expédie tous les problèmes, saute sans hésiter des questions aux réponses serait aujourd'hui fatale au moindre mémoire de master. Un personnage, rien de moins, est sacrifié sur l'autel de ce travail intuitif : Salarino et Salerio sont fondus en une seule entité, alors qu'il y a belle lurette qu'aucun éditeur sérieux ne fait plus ce choix, qui entraîne une absurdité dans le dialogue.Une multitude de coquilles assez sérieuses achèvent d'entacher cette édition ("or" au lieu de "of" page 72, "money's" au lieu "de moneys'" page 78, "In once dit" pour "I once did" page 276, "chanded" pour "chanced" page 278... il y en a près d'une par page en moyenne !) : depuis le temps qu'elle est au catalogue de l'éditeur, on aurait peut-être pu y remédier... En rajeunissant les couvertures d'éditions périmées et leur date de copyright, GF fait croire qu'il ne sait pas faire mieux que "ça" aujourd'hui et dégrade son image.Je déconseille cette édition.
Editions billingue. Les pages du livres se sont détachées dès a première lecture. C'est fort de café. Un livre en lambeau. Impossible de relire une page.Merci de me rembourser. et j'espère que ce n'est pas la même chose pour les autres livres de l'édition billingue. Merci et meilleures salutations,
J'aime souvent à dire que je déteste le théâtre tant sur un plan sociologique que sur le plan littéraire en lui même, sauf(!) quand cela concerne Shakespeare.Ce dramaturge à cela de commun avec les plus grands écrivains de la littérature mondiale, comme un Balzac, de décrire le monde et la nature humaine dans tout ce que cela comporte de complexité.Si cette œuvre est depuis toujours sujet à controverse sur le message que Shakespeare souhaite transmettre par rapport au personnage de l'usurier Shylock, c'est sans doute à cause de l'opposition systématique entre la lecture philosémite et antisémite de la pièce sans jamais surpasser cette lecture médiocre pour un auteur si complexe et si subtil que Shakespeare.En effet si l'on peut reconnaitre chez Shylock les traits classiques de l'usurier juif tout autant vénale que cruel, il n'en demeure pas moins que ce dernier peut en être tout autant un persécuté.C'est en cela que repose toute la force de Shakespeare. On peut être un persécuteur tout en étant persécuté, on peut être ostracisé tout en étant soi même raciste, on peut être une victime sans pour autant être un innocent...Quelque puisse être la lecture personnelle de cette pièce, il n'en demeure pas moins cette reconnaissance unanime pour ce livre magistrale avec pour ancrage centrale l'un des plus grands personnages de la littérature mondiale, symbolisant par la plus grande des manières possible le caractère dualiste de la nature humaine: le juif Shylock.
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